
WARNING : Découverte de Yupitergrad à travers la preview PCVR.
Dobrii dien « Camarades » Vrplayers ici « Seianovich » de Yupitergrad. Promis je ne force pas mon talent en prenant l’accent soviétique pour la réalisation de cette vidéo preview (PCVR) du jeu Yupitergrad. Le titre est disponible sur Steam depuis le 27 août à 12€49. Si on en parle ici c’est parce que le jeu est prévu sur PSVR comme vous l’avait relaté Laurent dans un article fin du mois de juillet. Quant à sa venue sur PlayStation VR Yupitergrad est prévu pour le 1er trimestre 2021 avec une optimisation pour la PS4 Pro.
YupiterGrad était annoncé comme un jeu avec un risque minimal du mal des transports grâce à une conception innovante. Il se compose de 50 niveaux à explorer et à conquérir. Navigation de type Indiana Jones via des grappins et des boosters. Il vous faudra réaliser de nombreuses cascades et résoudre un tas d’énigmes spatiales dans une atmosphère plein d’humour.
Yupitergrad est développé par le studio Polonais Gamdust qu’on remercie pour la clé. Vous connaissez peut être ce studio si vous avez testé NeverOut ou Spuds Unearthed. On y incarne un fier cosmonaute de la mère Russia dans une mission patriotique : Récupérer un carburant révolutionnaire disponible uniquement sur Jupiter. Après un voyage de 6 ans dans une cage à lapin de 4m², c’est une station spatiale désertique et complètement abandonnée qu’on découvre. Heureusement on sera accompagné par AIsha, l’IA de la station qui vous dira quoi faire et ou aller en cas de galère.. mais y’a pas de raison que ça se passe mal hein ? Bah si en fait, la station est une vraie ruine et tout foire… encore un coup de ces salauds de capitalistes ! Un peu comme dans les jeux Detached ou Lone Echoes on va devoir jouer les concierges multitâche de l’espace.
Le gameplay est très simple, pour se déplacer on va utiliser uniquement nos bras pour s’accrocher sur des parois et se balancer en gérant la longueur des câbles. Et il va falloir pas mal de skill pour s’en sortir mais au bout d’un moment on commence à maîtriser le truc et à avoir de bonnes sensations.
Graphiquement c’est le choix du cell shading épuré façon comics qui a été retenu. Le bon coté c’est qu’on est sur que ça va ronronner tout seul sur PS4 fat.
Le jeu est totalement en anglais avec accent russe en bonus mais pas de sous titres en français, dommage parce que l’IA qui nous accompagne est pas avare en vannes.
