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PlayStation VR : Doom VFR, Bienvenue en enfer sur PSVR ! Test – Review

Doom VFR de Bethesda, Retour vers l’enfer !

Doom VFR test review VR4player.frC’est quoi Doom VFR ? A t-on encore besoin de présenter Doom, le FPS qui a marqué plusieurs générations ?

Doom parait pour la première fois en 1993, il est développé et édité par ID Software et est un peu considéré comme  le petit frère de Wolfeinstein 3d sorti l’année précédente, c’est une grosse révolution pour l’époque. Le jeu connait un immense succès et devient rapidement une référence. Il connait plusieurs suites sur PC (Doom 2, final Doom..) ainsi que plusieurs déclinaisons et sort les années suivantes sur beaucoup de plateformes (Super nes, Playstation, Saturn….). Ce FPS mi science fiction mi horrifique vient même  inventer un genre de jeu : Le « doom-like ».

La plus grosse évolution du jeu commence en 2004 avec la sortie de Doom 3 sur pc puis sa version améliorée Doom 3 BFG en 2012. Le dernier Doom en date sort en 2016 (sobrement appelé « Doom ») se dit être un reboot du premier épisode. Les rêves étant permis, on se prend rêver de jouer au premier FPS que l’on a connu en réalité virtuelle mais rien ne vient à l’horizon. Contre toute attente, nous apprenons à l’E3 dernier que ce rêve deviendra réalité dès cette année sur PSVR. Cette version du jeu est toujours développée par ID Software et éditée par Bethesda.

L’attente fut longue mais Doom VFR est enfin arrivé sur nos PSVR ce 1er décembre 2017, alors qu’en est-il ?

Introduction et interface de Doom VFR :

Même si Doom VFR tourne sur le même moteur graphique que Doom sorti en 2016 et en reprend certains décors, le jeu a totalement été recréé et pensé pour la réalité virtuelle, il ne s’agit donc pas d’un portage du jeu complet mais d’une sorte de spin of.

On démarre donc Doom VFR et on tombe sur une interface où l’on a pas beaucoup de choix puisque l’on ne peut sélectionner que le mode campagne. Au moins c’est simple. Une fois passé ce menu on choisit son emplacement de sauvegarde, trois parties différentes peuvent être crées (ça c’est une excellente chose) puis on règle la difficulté et c’est parti. Il faut savoir que le jeu offre cinq niveaux de difficultés qui vont de « bleusaille » à « ultra cauchemar » mais que les deux derniers seront à déverrouiller, on aura donc uniquement le choix entre les trois premiers au lancement. La rejouabilité est donc priorisée.

On remarque dès le début que Doom VFR est tout en français que ça soit les voix ou les menus, ce qui est très bien pour un jeu VR en 2017. Un bon point pour Bethesda qui traite pour le coup son marché domestique dans sa globalité et ne laisse personne sur le carreaux.

Le scénario

A la base Doom met en scène un marines qui est envoyé sur Mars malgré lui suite à un refus d’obéir à ses supérieurs et se retrouve à affronter des démons dans une ambiance assez sombre. Dans Doom VFR, le jeu se passe toujours sur Mars dans une base spatiale, mais on incarne ici un scientifique qui se fait coincer dans un ascenseur et tué par un démon dès le début du jeu. On peut dire que ça commence bien ! Il se réveille et s’aperçoit qu’il n’est pas totalement mort (je sais ça fait bizarre mais avec la SF, tout est possible). Après quelques manipulations il parvient à transférer son âme dans une armature de combat qui lui apportera quelques atouts pour affronter les démons qui grouillent un peu partout dans la base.

Pour s’en sortir, il faudra donc enchaîner les objectifs qui généralement ne sont pas très recherchés, il y aura bien quelques interactions mais rien de bien difficile à réaliser, et rien de bien marquant. Le scénario ne va donc pas chercher bien loin et on ne s’attardera pas beaucoup dessus. Mais le scénario n’a jamais été un point fort de Doom, il est surtout un prétexte pour partir démonter du démon dans tous les sens à l’aide de nos « nouveaux pouvoirs » procurés par notre armure de combat. On ne perd jamais trop son temps à chercher son chemin car les niveaux sont simples et pas trop labyrinthiques, les objectifs sont toujours bien indiqués. Encore une fois, priorité à l’opération démontage !

On se retrouve souvent dans des « arènes » confrontés à toutes sortes de monstres imposants tous plus emblématiques les un que les autres de la série Doom. Et quel plaisir de se les farcir en VR à gros coups de sulfateuse ou de fusil à pompe. On retrouvera également des bonus sur les maps lors des affrontements pour nous donner un coup de main comme l’invincibilité, le mode bersek (qui nous permet de nous téléporter directement sur les ennemis et les exécuter sans avoir besoin de les blesser avant), le quad damage (plus de dégâts) ou la méga santé. La volonté des développeurs de miser sur l’action est palpable. Plus on passe les niveaux plus l’action devient intense. Les phases d’actions sont très bien rythmées, nerveuses et deviennent rapidement jouissives. L’ambiance de Doom est belle et bien là.

Le jeu est composé de 8 niveaux dans lesquels nos chers développeurs ont pris soin de disséminer quelques petits secrets qui vont des Doom guys à trouver aux mini jeux cachés. Ceci offrira un peu de rejouabilité au titre pour les joueurs ayant envie de tout finir à 100%, à savoir que tous les chapitres sont rejouables une fois le jeu fini pour trouver ce qui nous manque.

On devra trouver des « cellules argent » sur notre chemin pour améliorer notre santé et bouclier, la durée des ralentis durant les téléportations et augmenter la taille des chargeurs de nos armes. Il existe également des bornes pour améliorer nos armes mais le système n’est pas très poussé : on débloque des « modules » pour les armes, un système qui nous permet de faire un tir chargé plus puissant. On retrouve bien sur dans notre arsenal toutes les armes les plus mythiques de Doom, du fusil à pompe au lance roquette, en passant par la sulfateuse.

Les trophées sont assez faciles à obtenir, la plupart seront déverrouillés une fois le jeu fini pour la première fois.

Le Gameplay

Pour apprendre les mécanismes de jeu de Doom VFR, nous aurons droit à un petit tutoriel court et efficace au début du jeu qui nous apprendra rapidement toutes les bases. Tutoriel testé par l’équipe de VR4player lors de la PGW.

Pour pimenter les affrontements contre tous ses démons, le jeu nous propose donc des touches pour strafer et inclut un système de téléportation qui provoquera un effet bullet time. On pourra également grâce à ça effectuer des « téléfrags » en se téléportant directement sur les ennemis lorsqu’ils seront bien blessés (lorsqu’ils clignotent en bleu) afin de les exécuter et de récupérer des items comme de la vie ou des munitions. A ceci, nous pouvons rajouter une espèce de bouclier répulsif qui éloignera les ennemis et nous permettra d’y voir plus clair si on se fait déborder. A noter que dans le Doom de 2016 les exécutions se réalisaient au corps à corps, les développeurs ont donc modifié ce système pour rendre le jeu plus accessible en réalité virtuelle et ça marche plutôt bien.

Tous ces éléments de gameplay permettront au joueur de choisir sa façon de gérer les hordes d’ennemis auxquelles il devra faire face car il faudra bien bouger pour éviter de se faire démembrer. Le jeu est adapté pour trois types de controlers : la manette, l’AIM Controller et les PS Move. Dans les options il est également possible d’opter pour une rotation fluide ou segmentée et de régler la sensibilité.

Les trois  » controllers  » passés au crible :

A la manette Dualshock :

Le jeu est totalement jouable à la manette, toutes les touches sont là ou elles doivent être, c’est très intuitif et de la même manière que Resident Evil 7, la visée se fait à la tête. C’est efficace et bien pensé.

Certes l’immersion est peut être entachée du fait qu’on n’a pas l’impression de tenir une arme dans la main mais on joue sans se prendre la tête (mais simplement en la bougeant) assis au fond du canapé peinard et tout fonctionne correctement. Seul petit bémol, lorsqu’il faut se téléporter sur des plateformes en hauteur, il ne faut pas avoir de torticolis puisqu’il faudra lever suffisamment haut la tête tout en visant pour bien placer le curseur. Mais après quelques séances la gymnastique est acquise.

Les armes sont un peu hautes également, ça fait peut être une drôle de sensation au début mais on s’y fait assez vite.

A côté de ça les déplacements sont fluides, et on ne ressent aucune gêne, à part peut être pour les plus sensibles mais ça c’est une autre histoire.

A l’Aim controller :

Ce contrôleur a réussi à prouver son efficacité et sa précision sur certains jeux comme Farpoint, que donne t-il sur Doom ?

Les déplacements sont les mêmes qu’à la manette de ce côté là aucun soucis mais certains points viennent malheureusement entacher l’immersion qu’il procure.

  • Dans Doom VFR on se sert des deux mains : une pour tenir la grenade ou l’arme secondaire et une pour l’arme principale. Le problème étant qu’on tient l’AIM à deux mains, il y a donc une incohérence qui gênera certains joueurs.
  • Lorsque l’on se sert de l’arme secondaire c’est pire, la visée se fait à la tête, on se retrouve donc avec une visée à la tête pour l’arme que l’on tient dans la main gauche et une visée à l’AIM avec l’arme que l’ont dans la main droite (ou l’inverse pour les gauchers), ce qui n’est vraiment pas pratique en plein combat. Une gymnastique du cerveau devient donc obligatoire (pour un Doom, il faut le faire..).
  • Quelques petits bugs ne sont également pas très agréables : lors des déplacements notre arme tremble, ce qui peut être gênant et lors des strafes l’arme reste décalée d’un côté ou de l’autre, de même lorsque l’on avance ou lorsque l’on recule.
  • Le bouton pour changer d’arme est très mal placé et est difficilement atteignable lors des phases de combat (la plupart des joueurs découvriront ce bouton caché et en ignoraient totalement l’existence).
  • La précision aussi n’est pas totalement au rendez vous et on ne mettra pas des headshots facilement.

Il ne faut donc pas s’attendre à ce que le AIM fasse le boulot aussi efficacement que sur Farpoint mais le jeu reste tout de même jouable, malgré ces défauts.

Au PS Move :

De tous les modes de déplacement, c’est le plus difficile à prendre en main, il est très laborieux de se déplacer et de se sentir libre, les contrôleurs ne sont pas du tout adaptés et après l’avoir testé la plupart des joueurs reviendront rapidement jouer à la manette ou à l’AIM controller. Les plus têtus persévéreront certainement mais il leur faudra du courage pour arriver à s’adapter.

Les graphismes

Le jeu est beau sur PS4 pro, il n’y a rien à dire de ce côté là. Il y a certes toujours un peu d’aliasing et un peu de flou (sans doute les limites du casque) mais le boulot est fait et bien fait. les ennemis sont très bien représentés et imposants, même de loin. Ils ne donnent pas envie de s’y frotter mais quand il faut, il faut. Il reste également dans la moyenne haute sur PS4 classique.

Niveau graphismes ce Doom VFR n’a rien à envier à tous les titres précédemment sortis sur le PSVR, Id Software et Bethesda on fait du bon boulot.

Le son

De la bande son je retiendrais surtout les musiques rock et bien pêchues pendant les combats. Celle-ci qui plongent le joueur littéralement en phase de transe pendant les scènes d’action car les monstres arrivent au rythme de la musique, c’est très efficace et jouissif, on est complètement plongé au cœur de l’action ! Du tout bon. Immersion garantie.

Doom VFR le Test
Doom VFR le Test
Doom VFR le Test

Conclusion

Doom est un bon jeu, un gros défouloir, c’est beau, fluide, nerveux, et on y prend beaucoup de plaisir. Il reste cependant un peu court, on finit le jeu et on en veut encore plus. Mais on se surprend à directement le recommencer pour trouver tous les petits secrets qu’on ne s’est pas attardé à trouver lors de notre première session. Et puis les niveaux de difficultés débloqués ont un goût de reviens y. On se demande d’ailleurs pourquoi Bethesda n’a pas choisi, à la manière de Skyrim VR, de nous refaire le Doom de 2016 dans son intégralité, ce qui aurait certainement bien fonctionné, on aurait pu ainsi qualifier le titre de vrai AAA.

Aucun des  modes de déplacements proposés ne sera vraiment au point si on n’aime pas jouer à la manette, ce qui fera tiquer les plus exigeants d’entre nous. On espère une mise à jour de la part des développeurs pour rendre l’expérience plus agréable à l’Aim controller mais on ne peut par contre pas trop leur en vouloir pour la mauvaise optimisation des PS Moves qui sont très difficilement adaptables à un jeu aussi rapide que celui-ci…Rappelons-nous tout de même que nous avons été moins exigeants avec Resident Evil 7 à l’époque de ce côté là, qui lui ne nous proposait que la manette (et toujours d’ailleurs).

On aurait éventuellement aimé un mode arcade incluant du scorring pour offrir une plus grande rejouabilité ou encore un mode coopération. Mais il est à noter que deux niveaux bonus dans l’ambiance du Doom original pourront être débloqués ce qui ravira les plus nostalgiques. On saluera bien sûr l’initiative d’Id Sotfware et de Bethesda de nous avoir porté la licence Doom sur nos PSVR et puis ils nous sortiront sans doute du nouveau contenu.

Le jeu vaut à peu près son prix de 30 € pour les 3h assez intenses qu’il peut nous offrir (peut être même 4h en cueillant des pâquerettes) et on prendra plaisir à le recommencer. Malgré sa faible durée de vie et ses légers défauts, Doom VFR est sans conteste un jeu indispensable pour nos PSVR.

L'avis de VR4player.fr
Test réalisé sur PS4 PRO
GAMEPLAY
7.5
GRAPHISMES
8
SCENARIO
6.5
REJOUABILITE
7
BANDE SON
8.5
RATIO PRIX / DURÉE DE VIE
7.5
IMMERSION
8
VOTRE NOTE, VOTRE TEST !4 Notes
8.1
Les plus
Doom en réalité virtuelle !
Plutôt beau sur PS4 pro
Fluide et nerveux
Des déplacements libres
Les niveaux bonus
Jouable à l’AIM controller
Les moins
Un peu court, on en veut plus
Petit manque de rejouabilité
Injouable avec les PS move
Quelques défauts lors de l’utilisation de l’AIM controller qu’on aimerait voir corrigé
7.5

Article de spanks

Passionné de musique old school, de cinéma et de jeux vidéo, j’ai toujours beaucoup aimé l’époque du 2D mais j’ai maintenant trouvé la foi en la réalité virtuelle.

13 Commentaires

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  1. Bon ben La fête et encore gâché a cause de Moves toujours pas adapté , le jeu est  » mal exploité/adapté  » pour l’ AIM controller quel dommage pour un jeu qui mérite le détour , reste plus qu’a retourner sur le jeu en normal sur écran plat pour ne pas s’écœurer et avaler sa déception

    Vous en êtes content de vos jeux pas finis ou pas adapté ( Skyrim , Doom , Gran turismo , ….) ou annulé ( Star Wars ) ou manquant a l’appel (le dernier Call Of Duty ) et votre catalogue bourré d’expériences trop nombreuses sans intérêt , je reste sur ma faim depuis Résident evil 7 et Farpoint perso vous n’arriverez pas a me convaincre du contraire , que d’économies réalisé vous me direz en même temps , en attendant mieux reste plus qu’a surveiller l’actualité d’un jeu qui sort enfin du lot et qui vaut l’achat

    • Si tu as fait Resident Evil 7 à la manette, ne passe pas à côté de Doom, ça serait dommage, car comme je l’ai dit dans le test la manette fait bien le boulot et le jeu reste quand même jouable à l’AIM.

      • je comprend que malgré ses défauts et problèmes technique tu y trouve ton compte , perso j’ai deja fini l’original 2 fois pour y débloquer des trophées et je me connais je vais être déçu rien que par la maniabilité ca va me gonfler rapidement j’aurais acheté le jeu pour rien et le AIM également (autant le faire avec mais vu les problèmes )

        • @ Battlestar

          On joue bien au jeu original à la manette ?!

          Et je reviens sur Resident Evil 7 qui ne propose que la manette avec des développeurs qui n’ont même pas tenter une adaptation des moves à l’époque ni une mise à jour pour l’utilisation du AIM.

          Doit on plus en vouloir à des développeurs qui tentent le coup mais qui n’y arrivent pas ou à des développeurs qui ne font rien ?

          En partant de ce principe, je me contente du jeu tel qu’il est et je l’ai tout de même fortement apprécié, le jeu étant autant jouable à la manette qu’il l’est dans Resident Evil 7.

          En plus une prochaine mise à jour pour une meilleure utilisation de l’AIM n’est pas à exclure.

          @ EGb

          Je vais t’ajouter

      • J’ai des problèmes avec mon profil, fréquemment je ne peux plus poster les messages, ils n’apparaissent pas.

         

        PS : Mais te répondre sur une autre news, je joue à Farpoint toujours tu peux me rajouter « eGb_94 » j’ai d’ailleurs testé Farpoint en versus mode et ca déchire !

    • Farpoint sa durée de vie est assez grande, le solo c’est 5 – 7h, ensuite le coop (qui est géniale vraiment) tu peux y passer facilement avec les 6 maps je crois ou plus, une bonne quinzaine d’heure facilement tellement c’est prenant et challengeant, si tu veux être dans le top 15 avec un pote, tu auras des sueurs froides et ca va te prendre des heures à tripper ! Après le mode Versus te propose du grind d’armes, donc en gros tu peux rajouter facilement 10h de jeu dessus.

      Tu te retrouve avec un jeu sur lequel tu peux passer facilement 25 à 30h dessus sans problème.

      Re7, y’a des DLC, et le jeu à lui seul suffit pour justifier la VR, il est tellement dingue, l’immersion, l’ambiance, tu ne ressentira jamais ca sur du jeux 2D conventionnel, et c’est 12 – 15h pour la campagne, ensuite y’a des DLC auxquels je n’ai pas encore joué gratos, qui mérite apparement qu’on s’y interesse.

       

      Beaucoup de jeux sortent, y’a eu une première vague assez rudimentaire et quelques gros jeux dans le lot très bien pensé pour la VR, mais une deuxième vague va arriver courant 2018, faudra regarder ca de plus pret pour toi si tu veux te faire un avis sur la VR.

      • @EGB je sait pas si ton com m’est adressé mais j’ai le PSVR depuis octobre 2016 , j’ai le AIM controller avec Farpoint , j’ai fini Résident evil 7 2 fois , Uuntil dawn Rush of blood fini 2 fois aux moves , Arizona sunshine , Batman , Star Wars , Vr worlds , Call Of .. Jackal ,  on le dirait pas comme ca vu que je râle souvent , mais je suis pas satisfait de ce que l’on me propose hormis ces 3 jeux et quelques expériences trop courtes , je suis anti reseau et anti coop je suis un joueur solo qui malheureusement meurt tout doucement

        • Comme je disais sur une autre news, c’est vraiment dommage de passer à côté du coop entre amis.

          Je suis moi même un gros joueur solo et je deteste les jeux style COD and co. Pour moi un jeu doit être travaillé à une unique aventure solo.

          Farpoint est un cas à part, la VR permet vraiment d’augmenter la notion de « coopération », y’a une vraie composante « role playing » qui joue énormement sur la campagne Coop de Farpoint. On prend un plaisir fou à scorer entre amis et devenir le meilleur couple mondiale du top15. Ne pas tester le coop de Farpoint est limite un crime 🙂

           

          Encore une fois je comprends parfaitement que tu privilégie la campagne d’un jeu, mais en VR, apporte tellement de nouvelles sensations, que supprimer complètement cette partie là c’est ne pas faire honeur à un studio qui propose du contenu de qualité pour ce marcher là. Quand en plus les jeux VR ont une durée de vie moyenne encore basse, avoir un mode coop de qualité, est vraiment un plus. Je te conseil vivement.

  2. Bon test Spank

    Merci d’avoir précisé toutes les possibilités de déplacements.

    Si je regrette que les moves ne sont pas bien intégrés (la faute sans doute aux moves), je ne passerai pas à coté du titre pour autant. Le jeu parfait n’existe malheureusement pas. D’ailleurs les VR controlers PC ne sont que rarement exploités par les dev sur les jeux pour les plateformes concurrentes. Ils exploitent surtout le roomscale. Peut être ce coté là à exploiter par Sony.

    De toute façon il faut bien se mettre en tête que le jeu VR ne sera (pas dans les années à venir) l’égal du jeu sur écran plat tv, dev et gamers doivent faire des concessions.

    • Merci Usul.

      Je suis bien d’accord avec ce que tu dis pour les contrôleurs pc.

      Même s’il n’est pas l’égal du jeu sur télé et plus court, on s’éclate beaucoup plus, on pourrait même dire qu’on fait plus de concessions en jouant en 2D après avoir testé à cette version 🙂

  3. Très bon test pour un jeu que j’ai pris beaucoup de plaisir à faire. La maniabilité manette est au top et je me demande vraiment pourquoi le jeu original n’a pas été entierement adapté en VR, ça aurait été le pied! Chose amusante, je joue pas mal sur R6 Siege en ce moment sur PC, après avoir fini DOOM VFR j’ai lancé une partie de R6 sur mon écran PC 2k, une impression très étrange de jouer à travers des jumelles inversées. Tout me paraissait tout petit et distordu. Ça me fait dire que lorsque les FPS « classiques » comme doom VFR seront démocratisés, il vas être très compliqué de rejouer sur écran plat.

  4. C’est vrai que la touche de changement d’arme sur l’AIM controller est très mal choisie, mais à part ce point je trouve que les sensations avec cet accessoire sont vraiment bonnes dans Doom.

  5. Petite info concernant les niveaux bonus, à priori il n’y en aurait pas que deux mais beaucoup plus (plus d’une dizaine) , et il faudrait les débloquer en trouvant tous les Doom guys (info à vérifier)

    Ce qui rajoute encore un peu de rejouabilité au titre. raison de plus pour se laisser tenter par ce super jeu !

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GAMEPLAY
GRAPHISMES
SCENARIO
REJOUABILITE
BANDE SON
RATIO PRIX / DURÉE DE VIE
IMMERSION
Note finale

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